Après quelques réticences mais face à l’assurance de Tudor que le système fonctionnant à l’Irminenhof est extrapolable à une plus grande échelle, la commune accepte le projet. Fin 1886, l’abbaye d’Echternach abrite les équipements nécessaires à un éclairage électrique stable et constant et la ville peut profiter de cette nouvelle technologie. Rapidement, Tudor ajoute une deuxième chaudière à vapeur pour augmenter la puissance du réseau et pour y raccorder un plus grand nombre de demeures privées. L’éclairage d’Echternach capte l’attention à l’étranger et pousse des villes, notamment des villes belges, à faire appel à Henri Tudor. Celui-ci fonde la Société Anonyme Belge pour l’Eclairage Public par l’Electricité pour faciliter ses activités dans ce pays.
L'energy-car
Im Jahre 1905 präsentieren die Brüder Tudor bei der Weltausstellung in Lüttich den so genannten “Energy-Car”. Dieser Wagen sollte jene Gegenden mit Strom versorgen, die nicht mit an das Elektrizitätsnetz angeschlossen waren. Der Wagen enthält einen Benzin-Motor, der über eine elastische Kupplung mit einem Elektromotor verbunden ist. Die angeschlossenen Akkumulatoren speichern die überschüssige Energie, die sie bei Bedarf wieder abgeben. Der Energy-Car kann genau wie seine „Verwandte“, die so genannte Lokomobile, landwirtschaftliche Maschinen antreiben, ist dabei aber leichter und effizienter. Obwohl ein technologischer Fortschritt, hat der Energy-Car keinen kommerziellen Erfolg.
En 1908, Henri Tudor est obligé de fermer son usine à Rosport. La petite usine ne peut plus faire face à la demande et les taxes d’importation du plomb brut et d’exportation des accumulateurs hors du Zollverein limitent la rentabilité de l’entreprise. L’usine fondée à Florival en 1901 prend la relève de la production.